Est-il possible de profiter de la technologie, tout en ayant une façon de vivre durable?
À quoi ressemblera la vie de nos générations futures?
Qu’elles seront les répercutions de nos actions sur leurs futures?
Saviez-vous que les indigène-américains se posaient toujours cette question avant de poser un geste? En fait, ils se demandaient toujours quel serait l’impact de leurs actions sur les 7 prochaines générations à venir. Quel sera l’impact du geste que je pose aujourd’hui sur mes enfants, mes petits-enfants, mes arrières-petits-enfants, etc.?
Au États-unis seulement, nous produisons 74 milliards de livres de produits chimiques synthétiques PAR JOUR. C’est 250 lb/personne/jour. Et cela n’inclut malheureusement pas la pharmaceutique, les pesticides, le carburant et les agents de conservation alimentaire. Mais que sommes-nous en train de faire!
Le pire dans tout ça, c’est que la majorité de ces molécules chimiques n’ont jamais été testées afin de vérifier leur sécurité. Nous en mangeons en petite quantité à tous les jours, nous les appliquons sur notre peau, nous les respirons, nous dormons dedans, nous nageons littéralement dedans…
Saviez-vous, qu’on a découvert environ 287 composantes chimiques dans le sang du cordon ombilical d’un bébé naissant?
Saviez-vous que le « smog », ou l’air pollué, de la Chine, ne prend qu’environ 7 jours à se rendre au dessus de nos maisons? La NASA en a fait la constatation à l’aide de leurs satellites.
En seulement 2 ou 3 générations, nous nous sommes complètement dissociés de la planète. Nous avons été créé par la nature, nous faisons partie intégrante de la nature, mais depuis quelques années, nous nous sommes éloignés et dissociés de celle-ci, et de la façon dont nous sommes censés vivre. Au lieu de vivre en harmonie avec notre planète et la nature, nous sommes devenus des prédateurs et, il est fort possible que bientôt, si nous ne réfléchissons pas à notre façon d’agir, et ne modifions pas notre mode de vie, nous deviendrons des parasites sur notre planète.
Essayons de mieux comprendre ce qui se passe : En 2017, les gens n’ont plus la vivacité d’antan, les gens sont stressés, fatigués, obèses, infertiles, malades…
De tous ces produits chimiques qui sont créés à chaque jour, plusieurs d’entre eux sont connus pour leurs effets néfastes sur notre santé. Ils peuvent être irritants, causer des réactions allergiques, certains sont des perturbateurs du système endocrinien, d’autres endommagent et affectent le fonctionnement de la mitochondrie, ils y en a même qui sont des cancérigènes potentiels. Les résidus de ces produits chimiques, qui se retrouvent souvent dans nos égouts, ont également un impact sur la faune terrestre, aquatique et sur la qualité de notre eau potable. Bref, il y a une très grande chaîne de réactions suite à l’utilisation de ces produits.
Voici une liste des produits chimiques les plus utilisés et les plus connus. J’espère que cette information vous portera à réfléchir sur vos habitudes et sur vos prochains achats. Comme je dis toujours, »Money talks! », alors exprimez-vous lorsque vous magasinez; choisissez des produits qui sont moins nocifs et moins toxiques pour vous et pour l’environnement. De faire ces choix envoie un message clair et direct aux industries et c’est la meilleure façon de leurs dire que nous ne voulons pas de ce genre de produits. Ainsi, ils devront éventuellement s’ajuster à nos demandes et faire mieux, car il est toujours possible de faire mieux!
Lorsqu’on ne réussit pas dans la vie, ce n’est certainement pas à cause d’un manque de RESSOURCES, c’est par un manque de RESOURCEFULNESS (ingéniosité). -Tony Robbins
Et surtout, apprenez à lire les étiquettes lorsque vous achetez un produit.
Supposons que je vous demandais de fermer les yeux et que je vous donnais quelques chose à manger. Je ne vous dis pas ce que c’est, mais je vous informe que c’est possiblement poison. Me laisseriez faire? Bien sûr que non! Et bien, c’est exactement ce que vous faîtes à chaque fois que vous mettez dans votre panier d’épicerie des produits dont vous n’avez pas la moindre idée ce qu’ils contiennent. Aujourd’hui je vais vous aider à démystifier tout ça.
Voici une liste de produits chimiques à éviter :
Les BHA et BHT
Ils sont des antioxydants synthétiques. Ils aident à ce que les huiles ne rancissent pas trop rapidement. Ils sont utilisés comme agents de conservation et on les soupçonne d’interférer avec nos fonctions hormonales, d’être cancérigènes (BHA) et d’être nocifs aussi pour les poissons et la faune.
Aux États-unis, l’état de Californie exige même que des étiquettes d’avertissement soient apposées sur les produits contenant du BHA, indiquent aux consommateurs que cet ingrédient peut causer le cancer.
Voici quelques produits dans lesquels on peut en retrouver : les produits hydratants, le maquillage, tel le rouge à lèvre, les croustilles, les huiles végétales, les beurres de noix, la gomme à mâcher, etc.
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Qu’est-ce qu’un perturbateur endocrinien? C’est une substance chimique, d’origine synthétique, (et très rarement d’origine naturelle), qui peut interférer avec le fonctionnement de notre système hormonal. Il peut avoir un effet néfaste sur le pouvoir de communication de nos hormones. Même une quantité minime, mais avec une utilisation prolongée, peut suffir à dérégler votre système hormonal et affecter votre santé et votre système reproducteur.
On parle aussi souvent de xéno-estrogène; xeno signifie étranger. On les retrouve très régulièrement dans nos produits de beauté. Ne pas confondre les xéno-estrogènes, qui proviennent généralement de dérivé de pétrole ou molécule synthétique avec les phytoestrogènes qui sont des molécules naturelles provenant de plantes. Ce sera certainement un autre sujet.
Voici quelques exemples de perturbateurs endocriniens : BPA, BHA, CYCLOPENTASILOXANE, DIETHYL PHTHALATE, OXYBENZONE, PARABENS, PHATALATES, TRICLOSAN. Cette liste est malheureusement non-exhaustive : il est fort probable qu’à mesure que de nouvelles études paraîtront, de nouveaux perturbateurs endocriniens seront découverts.
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Le pétrolatum
Le pétrolatum, ou gelée de pétrole, est une gelée d’huile minérale dérivée du pétrole. C’est un mélange semi-solide d’hydrocarbure. L’Union européenne le classifie dans la section des cancérogènes.
Il est utilisé comme barrière pour bloquer l’humidité de la peau. On le retrouve dans plusieurs produit hydratant, certains produits capillaires (pour la brillance), dans des baumes à lèvres, etc.
Saviez-vous que le deuxième ingrédient de la crème hydratante pour la peau sensible Glaxal, qui me fût recommandée par le pédiatre de mes enfants, est le pétrolatum? Celui-ci suivi de Cetearyl alcohol (ok) et de parrafinum liquidum… Super!
J’ai donc décidé de faire ma propre crème.
Les colorants (P-PHENYLENEDIAMINE)
Soyez à l’affût du P-PHENYLENEDIAMINE et des colorants identifiés par « CI » suivi de cinq chiffres. Les colorants commençant par « CI 1….» seraient particulièrement à éviter. Ils pourraient être cancérigènes et contenir des métaux lourds toxiques pour le cerveau. C’est un allergénique également.
La Para-phénylènediamine est un colorant dérivé du goudron de houille utilisé dans certaines teintures pour les cheveux. Les teintures les plus sombres en contiennent davantage que les claires. Le goudron de houille est reconnu comme cancérigène pour l’humain. D’autres couleurs sont employées dans de nombreux produits cosmétiques.
Les libérateurs de formaldéhyde
Ce sont des agents de conservation qui sont très utilisés pour tuer les micro-organismes, ou empêcher leur croissance dans les produits. Ils sont utilisés dans une large gamme de produits cosmétiques, tel que les colorants capillaires, les vernis à ongles, les savons et détergents, les nettoyants cutanés, les produits industriels, les encres pour la photocopie, etc. Ils sont également utilisés en dentisterie et dans certains vaccins. Ils libèrent de façon lente et continue de petites quantitées de formaldéhyde, substance cancérigène. Ils causeraient des irritations de la peau et des yeux et seraient un déclencheur d’allergies.
Voici certaines de leurs identifications: DMDM HYDANTOIN, DIAZOLIDINYL UREA, IMIDAZOLIDINYL UREA, METHENAMINE, QUARTERNIUM-15, N-methylolchloracetamide, N-methylolethanolamine et le 2-Bromo-2Nitropropane-1,3-Diol
Le Centre International de Recherche sur le Cancer classifie le formaldéhyde comme étant un agent cancérigène connu.
Sodium lauryl sulfate et sodium laureth sulfate
Le sodium lauryl sulfate est utilisé comme émulsifiant et détergent. On le retrouve dans les produits moussants tels les shampooings, nettoyants et produits pour le bain. C’est un irritant pour la peau, les yeux et les voies respiratoires; il pourrait provoquer des allergies. De plus, il est toxique pour les organismes aquatiques.
Le sodium laureth sulfate est un ingrédient ethyoxylaté. Tout comme les PEG, il peut contenir des quantités mesurables de 1,4-dioxane et est potentiellement cancérigène.
Le 1,4-dioxane figure sur la Liste critique des ingrédients dont l’utilisation est restreinte ou interdite dans les cosmétiques. Cependant, cette liste ne contrôle pas les ingrédients toxiques en tant que contaminant.
Un contaminant est un ingrédient qui se retrouve dans un produit par le résultat d’une action. Il n’est pas intentionnellement ajouté, mais il est tout de même présent dans ce dernier comme un résidu de la production.
Les parabens
Vous avez certainement déjà lu sur un produit l’inscription SANS PARABEN. Les parabens sont des agents de conservation qui sont moins utilisés de nos jours, mais qui sont encore présent.
Les parabens sont présents naturellement, en faibles concentrations, dans certains aliments comme par exemple l’orge, les fraises, les raisins de Corinthe, la vanille, les carottes et les oignons. Cependant, ceux qui sont utilisés dans les produits de beauté sont de formes synthétiques, dérivées du pétrole. Les parabens des aliments sont métabolisés lorsqu’ils sont ingérés, ce qui les rend moins fortement œstrogéniques. En revanche, lorsqu’ils sont appliqués sur la peau, ils sont facilement absorbés par l’organisme et sont considérés comme des perturbateurs du système endocrinien. On les retrouve dans les laits corporels, les shampoings, les masques capillaires, les baumes à lèvres, etc.
Afin de les éviter, choisissiez un produit avec l’inscription sans paraben et sans parfum/fragrance***.
Attention : « Sans parabens » ne signifie pas pour autant qu’il n’y ait pas d’autres agents de conservations potentiellement toxiques.
***Les recettes de parfums étant considérées comme des secrets commerciaux, les fabricants ne sont pas tenus de divulguer les ingrédients particuliers de fragrance.
Methylisothiazolinone & methylchlorothiazolinone
En remplacement au paraben, les producteurs utilisent régulièrement, et de plus en plus fréquemment, le méthylisothazolinone comme agent de conservation. Plusieurs rapports commencent à démontrer que cet ingrédient est très allergénique et irritant pour la peau. On le retrouve aussi sur la liste des ingrédients sous l’inscription MIT.
Allez visionner ce segment de l’émission la facture du 10 mars 2015. Un ennemi si proche
Les phtalates
Les phtalates sont souvent utilisés comme agent fixateur. Ce type de molécule est particulièrement présent dans les parfums, les vernis à ongles et certains produits coiffants.
Le phtalate de dibutyle est utilisé comme plastifiant dans les produits pour les ongles. Il est considéré comme toxique pour la reproduction et soupçonné d’interférer avec la fonction hormonale (perturbateur endocrinien). Il est également nocif pour les poissons et la faune.
Le meilleur moyen d’éviter les phtalates dans les cosmétiques est d’utiliser des produits dans lesquels les termes parfum et fragrance ne figurent pas dans la liste d’ingrédients ou de n’utiliser que des produits dont les parfums sont 100% d’origine naturelle, comme les huiles essentielles.
Attention : Le DIETHYL PHTHALATE est très utilisé dans les parfums pour fixer et prolonger leur senteur. Dans ce cas, il n’est pas répertorié comme ingrédient dans la liste INCI. En effet, quelle que soit leur composition, les parfums sont tous indiqués sur la liste INCI sous un même terme générique : FRAGRANCE, qui ne permet pas de savoir si le parfum en question contient des phtalates ou non. Des phtalates peuvent donc être présents dans votre parfum ou dans les crèmes cosmétiques (qui sont presque toutes parfumées) sans que cela soit visible sur la liste des ingrédients INCI .
Attention : En ce qui concerne les phtalates, il ne faut pas seulement considérer le produit. Tout comme pour le Bisphénol-A, de véritables risques de migration des phtalates entre le plastique du contenant vers son contenu existent. Il faut donc éviter tous les produits contenus dans un plastique de type PVC que l’on repère par un symbole particulier : le chiffre 3 dans un triangle de recyclage. Jusqu’à récemment on considérait qu’un plastique très courant appelé PET (polyéthylène téréphtalate) ne risquait pas de libérer de phtalates. Une étude allemande a néanmoins montré que l’eau minérale contenue dans les bouteilles en plastique PET contenait beaucoup plus de phtalates que de l’eau contenue dans une bouteille en verre. Par précaution, vous pouvez essayer d’éviter toutes formes de plastique.
« Endocrine disruptors in bottled mineral water: total estrogenic burden and migration from plastic bottles » tiré de Martin Wagner et Jörg Oehlmann, 2009. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19274472
Notez le # 6 qui est la fameux goblet de « styrofoam » si souvent utilisé pour le café.
Le triclosane
Le triclosane est généralement utilisé comme agent conservateur et antibactérien dans les anti-sudorifiques, les dentifrices, les nettoyants et les produits désinfectants pour les mains. Par ailleurs, on retrouve le triclosane dans une vaste gamme de produits ménagers, incluant les sacs à ordures ménagères, les jouets, les lingettes, les matelas, les accessoires de toilette, les vêtements, les tissus d’ameublement, les peintures, etc.
Il est soupçonné d’interférer avec la fonction hormonale et de contribuer à la résistance de certaines bactéries face aux antibiotiques. Il est également nocif pour les poissons et la faune.
Ses synonymes sont : 2,4,4′-TRICHLORO-2′-HYDROXY DIPHENYL ETHER, 5-CHLORO-2- (2,4-DICHLOROPHENOXY) – PHENOL, 5-CHLORO-2- (2,4-DICHLOROPHENOXY) PHENOL,5-CHLORO-2- (2,4-DICHLOROPHENOXY) PHENOL, 5-CHLORO2 (2,4DICHLOROPHENOXY), 2,4,4′-TRICHLORO-2′-HYDROXYDIPHENYL ETHER, 5-CHLORO-2- (2,4-DICHLOROPHENOXY) PHENOL).
Les ingrédients reliés au DEA
COCAMIDE DEA et LAURAMIDE DEA
On utilise les ingrédients reliés au DEA (diéthanolamine) pour rendre les cosmétiques crémeux ou mousseux et ajuster le pH, neutralisant l’acidité d’autres ingrédients. On les retrouve principalement dans les cosmétiques crémeux et moussants tels que le savons, les démaquillants, les shampooings et les produits hydratants.
La MEA (monoéthanolamine) et TEA (triéthanolamine) sont des produits chimiques similaires. Comme le DEA, ces substances peuvent réagir avec d’autres produits chimiques présents dans les cosmétiques pour former des nitrosamines cancérigènes. Ils sont également nocifs pour les poissons et la faune.
PHÉNOXYÉTHANOL
On le retrouve dans les lingettes pour bébé comme agent de conservation.
Il n’y a pas encore d’étude montrant un effet de perturbation endocrinienne à proprement parler, mais une évaluation de l’ANSM a montré des risques pour la reproduction. Une recommandation à été transmise à la Commission européenne de faire interdire cette substance dans les produits destinés aux moins de 3 ans (en particulier dans les lingettes pour bébé).
Les parfums et fragrances
Mélange de produits chimiques qui peuvent déclencher des allergies et de l’asthme, certains sont associés au cancer et à l’intoxication des neurones. Nocifs pour les poissons et la faune.
Les parfums sont tous indiqués sur la liste INCI sous un même terme générique : FRAGRANCE, ce qui ne permet pas de savoir si le parfum considéré contient des phtalates ou non. Des phtalates peuvent donc être présents dans votre parfum ou dans les crèmes cosmétiques (qui sont presque toutes parfumées) sans que cela soit visible sur la liste des ingrédients INCI.
Les PEG
Les PEG (polyéthylèneglycols) sont des composés à base de pétrole (des formes de plastique) largement utilisés dans les produits de beauté comme épaississants, solvants, adoucissants, et servent de multiplicateurs de pénétration permettant à la peau d’absorber plus facilement les hydratants.
Les PEG servent généralement de base pour les crèmes de beauté. Il peuvent contenir du 1,4-dioxane, potentiellement cancérigène.
D’autre part, ils ne sont pas très biodégradables.
Les siloxanes – diméthicone
Ils sont utilisés dans les produits cosmétiques pour assouplir, lisser, humidifier et texturer.
En fait, le dimethicone forme une mince couche sur le dessus de la peau, comme une pellicule de Saran Wrap, ce qui emprisonne l’hydratation vers l’intérieur (dans la peau). Le problème est que la peau n’est pas seulement un organ qui absorbe, mais elle est également un organ qui élimine les toxines, par la transpiration. Il est donc primordiale qu’elle puisse transpirer et respirer allègrement. Le dimethicone intervient dans ce processus et empêche la peau de respirer normalement.
Le cyclotetrasiloxane est considéré comme perturbateur endocrinien et substance potentiellement toxique pour la reproduction et aussi nocif pour les poissons et la faune.
Les silicones sont très présents dans les cosmétiques (shampooing, crèmes, déodorants…).
Alkylphénols : méthylphénols et ethylpénols
Émulsifiants : Ils peuvent être présents dans certains produits nettoyants pour le corps et les cheveux, mousses à raser, produits coiffants, colorants capillaires, spermicides, etc.
Les effets toxiques et perturbateurs endocriniens des alkylphénols ont été démontrés par plusieurs études scientifiques : malformations au niveau des organes reproducteurs, diminution du nombre de spermatozoïdes et perturbation de l’équilibre des hormones reproductives. Il est intéressant de constater que le nonylphénol est un ingrédient actif de certains spermicides.
Éviter tous les produits contenant NONYLPHENOL ou NONOXYNOL.
Filtre chimique à rayon UV : benzophénone et oxybenzone.
Présents dans les crèmes solaires, certains produits capillaires, shampooings, crèmes de jour, vernis à ongles, etc., ces molécules chimiques qui filtrent les UV ont aussi un effet de perturbation sur notre système endocrinien.
Éviter les molécules : BENZOPHÉNONE, l’OXYBENZONE, l’ETHYLHEXYL METHOXYCINNAMATE, ou encore le 4-METHYLBENZYLIDENE CAMPHRE.
Des études ont démontrées que ces filtres chimiques imitent l’action des hormones féminines, provoquant des retards de puberté et des perturbations du développement des organes reproducteurs.
Les écrans sous forme de nanoparticules posent aussi problème, favorisant ainsi leur pénétration transcutanée, celles-ci sont soupçonnées d’être toxiques pour l’organisme.
Les alternatives : utilisez des produits conçus avec des filtres minéraux, comme l’oxyde de zinc et le dioxyde de titane.
Aluminium et sels d’aluminium
Dans certaines crèmes classiques et solaires, il sert à faciliter l’application sur la peau et à la rendre aussi douce et agréable que possible. Utilisé en maquillage, il permet d’améliorer la tenue sur la peau.
On retrouve également les sels d’aluminium dans les anti-transpirants pour contrôler et limiter la transpiration. Utilisé comme agent anti-transpirant, ils empêchent la sueur de se former à la surface de la peau en resserrant les pores, et empêchent donc le corps d’évacuer ses toxines. Cela peut conduire à boucher les canaux de sécrétion des glandes sudoripares causant des réactions inflammatoires.
On retrouve aussi les sels d’aluminium dans les produits alimentaires transformés sous la forme d’additif, de conservateur ou de colorant; dans certains médicaments et vaccins comme adjuvant pour renforcer leur action.
Il a également un fort potentiel irritant.
Introduit dans l’organisme, l’aluminium peut faire apparaître diverses pathologies comme la maladie d’Alzheimer ou encore le cancer du sein…
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J’espère que cela vous a plus,
Mon inspiration pour écrire cet publication provient de ces sites et du documentaire ORIGINS Our Roots. Our Planet. Our Future.
Si vous désirez en apprendre davantage, je vous suggère fortement d’aller y jeter un coup d’oeil.
http://www.sabotage-hormonal.org/IMG/pdf/Sabotage-hormonal-2009.pdf
https://documentarystorm.com/origins/
Études scientifiques à propos des phtalates et leurs effets sur le système reproducteur.
ISABELLE VOTRE AMIE ESSENTIELLE